Champ de fleurs

Myriade qui avait prit son envol d'un air mausade et qui ne disait rien de bon. Elle ne savait pas quoi dire, bref elle était bouche bée. L'hostilité entre elle et Althot... elle ne voulait plus y croire, c'était trop difficile pour elle. Même cauchemardesque...

Elle ferma les paupières qu'elle avait lourde de sommeil, et s'assoupit près du sol, pour pouvoir pénétrer son havre de paix, qu'elle appellait maison.
Son seul vrai toit depuis qu'elle avait perdu Althot, elle en avait mal et souffrait. Elle aurait voulu voir les choses d'un oeil différent mais c'était plus qu'impossible à imaginer, même à croire.

Elle s'étala de tout son long dans le champs de fleur au odeur presque acre tellement l'odeur qui y dégageait était puissante. tout en respirant cette odeur de femme et cueillit une fleur et la respira à plein poumon et sombra dans une douce folie qu'elle seule pouvait connaître.

Althot avait marcher plusieurs heures. Étant donner qu'il n'avait plus d'aile il devait se fier a sa mémoire et a son sens de l'orientation. C'est ainsi qu'il touva la place ou se trouva Myriade. Il était encore a plusieur mètre lorqu'il la repéra étandu sur le sol observant le ciel. Il se dit qu'elle devait chercher la solitude, mais il se dirigea vers elle tout de même. Arriver a pas de loup, il s'assit a coté d'elle et lui parla d'une voix douce et calme.

-Je suis désoler. Je n'aurais pas du réagir ainsi.

Il resta la tête baisser en regardant le sol. Au fond de lui il avait honte. Il avait de honte de ce qu'il avait fait et espérait se faire pardonner. Aussi n'osa-t-il même pas regarder Myriade dans les yeux.

Elle ouvrit un oeil et ouvrit l'autre d'une lenteur presque épeurante. Ses yeux brillaient d'un éclat presque famillier. Elle pleurait doucement en laissant choir bêtement ses larmes qu'elle aurait du enlever du revers de sa main... Mais elle avait mal...

C'est dans des mouvements empreints d'une tristesse qu'elle se releva, s'approcha doucement de lui. Elle enleva sa cape et révella sa tignasse de feu qu'elle montrait rarement au gens. Elle se nicha au fond de creux d'épaule et pleura toute cette peine qu'elle traînait dans un bagage, constament rempli... qui se remplissait et qui ne finissait plus de se remplir... Elle murmura doucement:

-Ce n'est pas à cause de toi, je t'ai provoquer tu le sais aussi bien que moi... J'ai agis de façon stupide... et ce n'est pas toi qui en a souffert crois-moi...*- Si tu savais ce qu'il m'arrive mon amour tu comprendrais...-* ... je suis...

Elle baissa la tête honteusement... Elle devrait lui dire... mais...

Althot soupira il semblait tout aussi désemparer que Myriade. Il tendit une main vers elle avec tendresse et lui caressa un joue. Il sentait bien. Il ne voulait pas que ce moment finissent.

- C'est plutot a moi de m'excuser. Jamais je 'aurai du agir ainsi lorsque tu est partit pour espionner. Tu était partit sans dire mot. Je savais que c'était pour ton bien et qu'il ne fallait éveiller aucun soupcon. Pourtant je n'ai pas oulu l'entendre ainsi et je l'ai prit personel. Ce se sentiment égoiste qui failli faire en sorte que je te perde et je te demande pardon pour cela.

Il l'a prit dans ses bras pour la cajoler et la becer. Il voulait aussi la consoler. Il se mit lui aussi a pleurer avec elle.

-Je suis désoler. Je suis vraiment désoler.

Il la lacha et la regarda en face. Celle-ci regardait le sol. D'un geste attentif et remplit de tendresse, il lui releva la tête.

-Alors que désire tu me mon amour.

Il lui adressa un sourire plein de tendresseet de compassion.

Elle ne comprenait plus, devait-elle lui dire, devait-elle le laisser dans le silence... ne pas savoir avant que le jour propice arrive... elle réflichissait rapidement, mais en ne le laissant pas paraître. Elle garda la tête baissé et lui adressa gentiment:

-Tu n'as pas besoin, mais tu sais bien que je te pardonne... Tu me connais trop bien pour le savoir...

Celle-ci releva la tête et fit un sourire triste mais qui se voulait doux et tendre. Elle le regarda doucement de ses yeux baignés de larmes et essuya celles d'Althot. Continuant de les essuyer, sa main glissa sur sa joue en l'effleurant jusqu'au bout de ses lèvres et elle murmura:

-Je ne désire rien... Je ne puis rien désirer... Mais je sais que je suis désirée...

En faites, elle le savait, depuis longtemps elle savait qu'il lui tenait elle rigueur d'être partie... mais elle savait que cela lui avait fait de la peine... cela l'avait blessé dans son orgueil...

Rien au monde n'aurait arrêté le temps juste pour elle et pour lui, mais elle savait que c'est instant était cher et un temps précieux que ceux-ci ne pouvait prendre souvent, c'est ainsi qu'elle le baillonna de ses lèvres pâles et sucrés sachant fort bien qu'il allait répliquer.

Althot lui retourna son baisser avec amour. Par la suite, il se redressa un peu et regarda Myriade. La dernière chose qu'elle avait dit lui semblait quelque peu mystériese et incompréhensible. Il ne voulait en aucun cas poser de question de peur de gacher ce moment. Il adessa un sourire plein de bonté et de compassion et la prit par la main.

-Si quelqu'un te veut, il devra avant tout me passer sur le corps. Je ne te perdrai pas une nouvelle fois est-ce que tu m'as compris.

Il sembalit insistant et voulait absolument que tout aille bien. Il ne voulait pour rien au monde que ce moment de paix et de bonheur dégénère.

- Alors, Est-ce que tu as une idée de quoi faire ou on reste ici.

Il lui adressa un sourire charmeur.

Elle ferma les yeux doucement. Elle pensait et réfléchissait encore une fois mais cette fois-ci avec son vrai cœur de femme qu’elle avait abandonné lorsqu’elle et Althot c’était laissé tomber. Elle secoua ses cheveux soyeux et dorés(j’ai changer de pict.lol!) en ouvrant ses yeux toujours aussi craintif que la première fois.

Si respirer était facile, pour l’instant elle avait de la difficulté à prendre les siennes. Elle en avait les poumons et le cœur comprimés dans sa petite poitrine de demi-femme et demi-adolescente. Trop de choses se passaient et elle ne les voyait pas venir… ou ne voulait-elle pas les voir? Bref trop de questions trottaient dans sa tête et cela lui causait une migraine insupportable… Elle baissa la tête… comment devrait-elle le lui dire… Il ne le prendrait jamais c’est certain.

À voir sa tête à elle, on pouvait certainement se poser de drôle de questions et pourtant on pourrait imaginer le pire… ce qui est réellement pire c’est qu’elle souffre elle-même. Elle déteste faire souffrir les autres, mais elle souffre pour cela. Malgré elle, son orgueil ne suffisait plus pour retenir la larme brûlante qui lui coula sur la joue, si douloureuse qu’elle était, si mauvaise qu’elle pouvait être… C’était une de ses larmes de sang que l’on voyait rarement chez les ange-déchus de son espèce, mais qui avait une signification assez complexe.

Si cette larme lui brûla la peau, l’autre qui suivit n’en étant pas moins plus douloureuse que l’autre. La première larme pour sa culpabilité et la seconde pour la souffrance qu’elle a subit. Elle ouvrit enfin les paupières, qu’elle avait alourdie par sa propre lâcheté et se leva en gardant la tête baissée pour qu’il ne la voie pas, pour qu’elle s’empêche de pleurer une autre larme rougeâtre et sanglante. Le regarder la soulage, elle, de la solitude mais ne la soulage pas de son lourd fardeau. Finalement, elle articula d’une voix chagrinée en gardant toujours la tête vers le bas :

-Althot… j’étais… j’étais enceinte de toi… je ne pouvais… je n’en voulait pas…

Elle leva la tête et le regarda. La dernière larme qu’elle aurait du retenir s’échappa du coin de son œil et vint couler le long de sa joue, descendit sur sa lèvre.

C’était dégoûtant… elle l’aimait, mais recevoir sa progéniture, elle ne voulait pas, elle ne l’aurait pas eu encore, cela lui pesait trop lourd. Elle savait ce qu’il arrivait aux femmes qui tombait enceinte, elle savait de ce qu’il arrivait de celle qui aimait pour l’homme de leur soi disant belle vie d’amoureuse… Mais jamais, elle n’aurait eu d’enfant d’un homme… Elle savait que les hommes utilisaient les femmes pour se combler mais prétendant formellement de les aimer, ensuite de les mettre enceinte et par la suite BANG!! L’homme les quitte et en trouve une autre, pour leur faire subir la même histoire, cercle vicieux des plus écœurants.

Si cela prouvait qu’elle n’avait plus confiance pour les hommes, alors elle ne faisait pas plus confiance à Althot. Elle savait qu’à sa manière de penser celui-ci restait violent et avait la patience très courte. Elle a eu toujours la certitude qu’un homme qui est violent un jour le sera pour toujours. Il ne changera pas et elle ne changera pas non plus.

La brise qui courait et qui apaisait les cœurs endoloris ne faisait pas effet sur elle, son cœur d’amoureuse avait passé, il y a longtemps. Longtemps avant la brise, avant qu’un autre homme lui fasse subir la même affaire. Elle n’était pas débutante quand elle avait rencontré Althot… Mais, elle était toujours aussi craintive, aussi sensible que du cristal qu’on polie et que l’on casse en le laissant tomber.

Si sa voix était faible, il affirmait son ton sans réplique mais doux tout de même :

-Althot… je te connais… je sais que tu m’aimes, mais ce n’est pas suffisant pour qu’on se remet ensemble, je préfère garder un accès de professionnalisme avec mon chef que l’amour que tu me vouerais sans fin. J’ai besoin d’encore un moment avant de repenser à tout cela et toi aussi l’amour me cause beaucoup de tord… et j’aimerais réparer ce que j’ai brisé avant d’aller plus loin… j’espère que tu comprends?

Même si elle avait des remords de le laisser là, la bouche grande ouverte, elle s’approcha tout de même de lui et l’embrassa d’une fougue qu’il se rappellerait pour un très long moment. Même si elle la bouche tâché de son sang cela n’empêchait pas qu’elle soit infiniment séduisante aux yeux des hommes. Elle se décolla enfin et partie dans les airs sans qu’il ne réplique quoique ce soit.

ailleur

Althot resta sur place complètement sidérer. Il n'essaya même pas d'empêcher myriade de partir, car il savait que cela serait inutile. Il ne savait plus quoi penser de tout ca. La seul chose qui vie vant que sa bien-aimé disparaisse dans l'horizon, ce fut un éclat de sa chevelure rouge. Althot se releva et marcha dans le champ de fleur. Autour de lui, les fleurs était agité de facon uniforme par une légère brise fraiche. Cela fit frisonné le capitaine de l'armé. Il continua de marcher le regard vide.

*J'aurais pu être père, j'aurais pus. Mais je ne peut l'empêcher d'agir a sa guise. Seigneur. *

Soudain une lueur de colère passa dans son regard. Tristesse et frustration était mélanger. Althot se mit a penser haut et fort. Il se parlait a lui-même. S'il y avait eu quelqu'un au aurait pus le croire posséder.

- ELLE M'A TRAHIS VOILA TOUT. JE N'AI PAS A LA PARDONNER. TOUT EST DE CA FAUTE. JAMAIS JE N'AURAIS DU FAIRE CONFIANCE A CETTE FEMME. ELLE SON TOUS PAREILLE. DÈS QUE VOUS AVEZ LE DOS TOURNER ELLE VOUS POIGNARDE SANS REMORD ET ENSUITE ELLE PARTE.

Le capitaine était posséder par sa colère tout simplement. Une toute autre personne aurait put être compréhensive au mot de Myriade, mais tut ce que ressentait Althot était de la haine. Il se sentait trahis et ne le pardonnerait pas si facilement. Non il n'allait rien faire, ni la blesser, ni la tuer. En tout cas, pas de souffrance physique. Mais il y avais encore la guerre avec les autres clans.

Il arriva a l'oré du champ et respira un bon coup. Pour se changer les idées, Althot se mit a pensée au moye de gagner cette guerre. Il devait faire tout ce qui était en son pouvoir pour gagner.

*Le pouvoir, c'est bien ce qu'il me manque.

Il continua sa route avec en tête tout les idées possible sur la guerre et avec la même rage meurtrière. Cette fois il était déterminer.

*Je doit avoir plus de pouvoir, plus d'autorité. Une fois cela fait, il faudra aussi que j'aille plus d'homme, une plus grande armé. Encore une fois pour cela il me faudra un plus grand territoire. Pour cela il faut annexer tout les autres royaumes. Ainsi il contriburons enfin a la guerre. *

Il resta pensif quelque seconde. Belgarion répugnait a annexer et combattre les autres royaumes pour que ceux-ci viennent en aide au peuple de la terre et combattent a ses coté. Il voulait toujours combattre seul sans les royaumes qui lui refusait leur aide. Pour avoir cette aide il fallait dons les annexer. A présent, Althot se trouvait au coeur de la forêt. Il marchait d'un pas déterminder vers le chateau.

* Belgarion refusera de combattre ses voisin. S'il ne fait pas, il n'aura pas assez d'homme pour combattre les cieux et l'enfer a la fois. *

C'était donc a lui d'agir. Il devait s'arranger pour avoir plus de pouvoir et annexer les royaumes. Mais comment. Une idée lui vint en tête. Une idée qui lui déplaisait beaucoup. Il en chercha d'autre. Il irais parler a Belgarion avant tout et ne se laisserait pas marcher sur les pieds. Il se montrerais convaincant. Il marcha encore quelque centaine de mètre.

Il mit la main dans sa poche et toucha une petite boite. Althot prit la boite et l'ouvrit. C'était la boite qu'il avait été prendre chez le bijoutier. A l'intérieur se trouvait un pendentif. C'était une flamme en argent avec en son centre une petite pierre rouge qui se trouvait a être un rubis. Althot ne tint pus et s'écroula a genour a terre en sanglot. Après quelque minute il sècha ses larmes et redevit sérieux avec un regard encore plus dur que l'acier. Il se dirigea directement vers le château. Il prit le chemin qui passa a travers le village.

» Au milieu d'un champ de bataille, il apparu.